Saint-Pétersbourg, Russie
Après avoir attendu que le pont de l’Annonciation qui connecte les îles de Vasilievsky avec le centre de la ville, ne se lève et que les gros navires de commerce ne l’empruntent, Energy Observer s’est engagé dans la Neva.
En provenance de: Tallin, Estonie
Heure d'arrivée: 07:00
C’est à la suite de « Voiles écarlates », ce bateau mythique des nuits blanches à Saint-Pétersbourg dont le festival aura lieu d’ici quelques jours qu’Energy Observer a passé le pont pour s’amarrer au pied de l’Ermitage, de l’Amirauté et du Palais d’Hiver.
À son bord, l’Ambassadrice de France en Russie, Sylvie Bermann, le Consul général de France en Russie, Hughes de Chavagnac et leurs équipes étaient présents pour accueillir le navire et partager cette arrivée mémorable.
Le 1er navire à hydrogène du monde est arrivé dans la nuit à Saint-Pétersbourg, sa 41e escale ! Une arrivée spectaculaire pour tout l'équipage ! Le bateau sera amarré devant le musée de l'Ermitage jusqu'au 20 juin #Futureisclean #FutureIsnow
“Nous arrivons à la 41ème escale de notre tour du monde : Saint-Pétersbourg, un lieu magnifique que j’avais eu l’occasion de découvrir il y a 9 ans lors de la course Vendée Saint-Pétersbourg en trimaran. Après la Suède, la Finlande, l’Estonie, nous arrivons en Russie avec des niveaux de batteries et d’hydrogène à 100%. De bel augure pour notre départ futur vers le Grand nord direction le Spitzberg !”
Energy Observer se prépare pour de nombreux événements avec dès ce soir, une présentation du projet à l’Institut français pour un large public en présence du capitaine et de l’équipe à bord.
Rencontre avec Tara
Sur la route du Spitzberg, Energy Observer a fait un bref arrêt à Visby pour saluer Tara, son frère de cœur et ancien bateau de Sir Peter Blake, l’un des premiers skipper d’Energy Observer… un moment historique !
Bateau scientifique, Tara sillonne les mers depuis 13 ans pour analyser et comprendre les écosystèmes marins et l’impact qu’a le plastique sur eux. Cette année, la fameuse goélette a pour mission de remonter les plus grands fleuves européens afin de déterminer la source du micro plastique que l’on retrouve dans les océans. On leur souhaite bon vent !