GUYOT environnement
Depuis 2022, GUYOT environnement a embarqué dans l’aventure Energy Observer, en devenant Partenaire Officiel « Economie circulaire ».
Acteur innovant du recyclage et engagé dans la transition énergétique, GUYOT environnement a souhaité s’associer à Energy Observer autour de leurs projets de Recherche et Développement, pour l’économie circulaire et la décarbonation des transports. Avec, à terme, l’ambition pour GUYOT environnement de décarboner son transport maritime, comme il le fait avec ses transports routiers.
Depuis quarante ans, GUYOT environnement positionne l’environnement au cœur de sa stratégie en mettant tout en œuvre pour apporter des solutions alternatives à l’utilisation d’énergies fossiles. Il transforme les déchets non recyclables en combustibles et produira demain l’énergie pour être autonome. L’autonomie énergétique est un objectif clé d’Energy Observer : ne consommer que ce que l’on peut produire, atteindre une efficacité maximale et ainsi gagner son indépendance énergétique.
Déjà investi dans l’objectif « zéro émission » pour la mobilité de ses camions, GUYOT environnement souhaite s’impliquer fortement dans le nouveau projet d’Energy Observer, visant à développer des solutions pour décarboner le transport maritime. GUYOT environnement marque ainsi son soutien, notamment dans la Recherche et le Développement de la construction de ce cargo jusqu’en 2024, et s’engage également dans la filière d’hydrogène vert sur l’un des sites du groupe.
“Avec les déchets collectés, nous avons encore du potentiel et la capacité de créer d’autres projets d’unités énergétiques, notamment pour fabriquer de l’électricité verte et donc de l’hydrogène renouvelable. C’est un métier que l’on doit apprendre et monter encore en compétences dans nos équipes. Nous allons donc bénéficier du réseau de spécialistes autour d’Energy Observer pour étudier la production d’hydrogène vert sur l’un de nos sites, avec pour objectif, in fine, de contribuer à une mobilité lourde décarbonée, y compris maritime. Et pourquoi pas imaginer une ligne maritime intra-européenne au départ de Brest, avec de l’énergie produite localement !”